Table des matières
Introduction
Vous êtes étudiant ou doctorant et cherchez à en savoir plus sur la rédaction, la mise en page, la relecture, la correction ou encore l’impression de votre thèse ? Ce guide est fait pour vous !
Consciente des enjeux que cela représente pour mes clients, j’ai créé ce guide à destination des étudiants ou doctorants soucieux de proposer une thèse la plus parfaite possible.
Laissez-moi vous guider et vous simplifier l’exercice de rédaction de thèse autant que possible.
Comment bien rédiger sa thèse ?
1) Structurez vos idées
Il est important de ne pas vous jeter dans votre thèse sans avoir une idée précise de la structure de celle-ci. Même en ayant une bonne visibilité sur la manière de l’introduire et de la conclure, vous devez vous assurer de la clarté et de la logique de présentation de vos différents arguments. Avoir une idée précise du déroulé vous assure efficacité dans l’écriture et cohérence de bout en bout.
Mon conseil ? Créez ce qu’on appelle une « carte heuristique » ou « mind map » en anglais. C’est un moyen simple et très visuel d’organiser vos idées et de vérifier la cohérence de la structure globale de cette thèse.
De nombreux logiciels gratuits vous permettent de réaliser cette carte en ligne.
En voici quelques exemples :
2) Planifiez l’écriture de votre thèse
L’écriture d’une thèse se déroule en trois phases bien distinctes : la planification, la rédaction et la révision. Assurez-vous de prévoir du temps pour les trois et à bien travailler votre thèse sur l’ensemble de la période qui vous est allouée. Hors de question par exemple de démarrer en dernière minute et de faire l’impasse sur la relecture et la correction. La crédibilité de votre thèse (et votre santé) en dépendent !
3) Anticipez les attentes de votre jury
Prenez un temps pour vous demander quelles sont les attentes de votre jury et notez-les avant de commencer la rédaction.
Ceci peut évoluer d’une thèse à l’autre et d’un jury à l’autre, mais vous pouvez par exemple :
- Vous assurer de la cohérence, la logique et la qualité d’écriture de vos arguments. Ceci afin de démontrer une excellente maîtrise de votre sujet ;
- Montrer votre bonne compréhension des méthodes et principes de recherches. Vous donnerez ainsi plus de poids à votre démonstration ;
- Sourcer vos arguments dans votre expérience, vos recherches personnelles ou les recherches et écrits d’autres ;
- Proposer une thèse facile à lire, relue, corrigée et bien mise en page. De nouveau, ceci améliore grandement votre crédibilité.
4) Pensez à la relecture et à la correction
Un chapitre de ce guide est consacré à la correction, mon métier. Ne sous-estimez pas l’importance de cette phase et prévoyez le temps nécessaire à plusieurs relectures personnelles et, si vous le pouvez, à la relecture par un correcteur… ou votre correctrice professionnelle préférée 😉 !
Quel logiciel utiliser pour rédiger sa thèse ?
Avec une offre de plus en plus large, il peut vite devenir compliqué de faire son choix sur le(s) meilleur(s) logiciel(s) utilisé(s) pour rédiger facilement son mémoire ou sa thèse. Je vous aide ici à choisir en passant en revue les options de traitement de textes les plus évidents.
À noter : mon expertise étant axée sur la rédaction et la correction, je vous propose ici des solutions de traitement de texte, vous trouverez d’excellents articles sur le Net si vous cherchez des logiciels de recherche ou de prise de notes !
1) Microsoft Word, le plus évident
C’est le plus connu et le plus évident des logiciels de traitement de textes. Si vous êtes en mesure de vous payer une licence, c’est le logiciel que je vous conseille d’utiliser. Il vous assure une compatibilité optimale ainsi que les dernières fonctionnalités du monde du traitement de texte. Microsoft Word est largement employé par la plupart des utilisateurs dans le monde.
👍 Avantages :
- Excellente compatibilité avec les logiciels de la suite Office,
- Très bonne prise en charge des autres formats,
- Toujours à jour dans sa version « 365 »,
- Permet l’accès en ligne à vos fichiers avec un compte Microsoft,
- Disponible sur Mac et PC.
👎 Inconvénients :
- Le logiciel est payant,
- Avec Microsoft 365 personnel, vous ne pouvez installer le logiciel que sur un seul ordinateur à la fois.
Le bon plan : une offre spéciale, réservée aux étudiants, est proposée par Microsoft pour réduire de moitié le coût de la licence. Début 2023, pour 3 €/mois au lieu de 7 € vous bénéficiez d’une licence Microsoft 365 personnelle comprenant la suite Office (Microsoft Word, Microsoft Excel, Microsoft PowerPoint, etc.)
Plus d’informations sur le site de Microsoft en cliquant ici.
2) OpenOffice Writer, l’alternative gratuite
OpenOffice a été pensé, depuis ses débuts il y vingt ans comme une intercurrence gratuite à Microsoft Office. C’est une suite similaire à celle de Microsoft, disponible sur Mac, PC et Linux. C’est un bon choix si vous n’avez pas de budget pour ce type de logiciel. Téléchargez-le gratuitement sur le site de l’éditeur et commencez à l’utiliser.
👍 Avantages :
- Totalement gratuit,
- Disponible sur Mac, PC et Linux,
- Mis à jour par des développeurs indépendants qui peuvent aider à améliorer le projet et corriger les erreurs.
👎 Inconvénients :
- Une interface parfois moins intuitive selon les mises à jour,
- Pas de disponibilité des fichiers dans le cloud,
- Moins de mises à jour,
- Parfois plus lent que Microsoft Word pour la gestion de longs textes,
- Peut s’avérer moins stable, car en constante évolution.
Vous pouvez télécharger OpenOffice directement sur le site du projet.
3) Google Docs, le meilleur des deux mondes
Google Docs est en quelques années devenu la référence du travail collaboratif. Totalement gratuit, il ne nécessite que la création d’un compte Google pour fonctionner. Aucune installation n’est nécessaire puisqu’il fonctionne directement dans votre navigateur internet. Malgré ses fonctionnalités « hors ligne », il privilégie la disponibilité des fichiers sur Google Drive.
👍 Avantages :
- Totalement gratuit,
- Disponible en ligne sans installation,
- Un des meilleurs outils collaboratifs, même si Microsoft Word a rattrapé son retard. En un clic, votre document est partagé et est prêt à être commenté ou modifié,
- Permet d’ouvrir les fichiers d’autres logiciels, notamment Microsoft Word.
👎 Inconvénients :
- Des fonctionnalités avancées parfois manquantes par rapport à Microsoft Word,
- Une bibliothèque de modèles moins fournie,
- Un travail hors ligne moins pratique.
Vous pouvez accéder à Google Docs en cliquant ici.
4) Apple Pages, pour les utilisateurs Apple uniquement
Issu de la suite « iWork » développée par Apple et disponible sur ses ordinateurs, iPad et iPhone. Excellent outil de mise en page avec de nombreux modèles disponibles, je vous déconseille cependant de l’utiliser pour l’écriture de votre thèse.
👍 Avantages :
- Inclus à l’achat de votre Mac, iPad ou iPhone,
- Vos fichiers modifiables dans tous les appareils de l’environnement d’Apple,
- Une excellente intégration à iCloud.
👎 Inconvénients :
- Produit des fichiers Apple que vous devrez systématiquement convertir en fonction du logiciel de votre interlocuteur,
- Compliqué de collaborer avec quelqu’un qui ne dispose pas du logiciel,
- Plus d’avantages à faire de belles présentations qu’à gérer un long texte de thèse.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site d’Apple.
5) LaTeX, le plus technique
Si vous vous êtes déjà renseigné sur les différents logiciels d’écriture de thèse, vous avez probablement entendu parler de LaTex.
Comme le dit Wikipédia : « LaTeX permet de rédiger des documents dont la mise en page est réalisée automatiquement en se conformant du mieux possible à des normes typographiques. […] LaTeX est particulièrement utilisé dans les domaines techniques et scientifiques pour la production de documents de taille moyenne (tels que des articles) ou importante (thèses ou livres, par exemple). »
LaTeX est un excellent moyen de traiter les longs textes, de générer tableaux et formules mathématiques. Il est en revanche beaucoup moins facile d’accès.
👍 Avantages :
- Excellent pour les longs textes et les textes scientifiques,
- Permet de référencer différentes parties de la thèse sans devoir réécrire. Exemple : si vous faites référence à un paragraphe particulier de votre thèse, la modification de ce paragraphe met à jour votre thèse partout où il est référencé,
- Une mise en page gérée automatiquement avec un rendu professionnel,
- Licence gratuite pour un utilisateur.
👎 Inconvénients :
- Nécessite clairement de se former au code LaTeX avant de commencer à rédiger,
- Incompatible avec la plupart des logiciels de traitement de texte,
- Export en PDF, mais pas d’export possible pour une collaboration si l’interlocuteur n’a pas de connaissance en LaTeX,
- Peut devenir rapidement onéreux si vous souhaitez pouvoir collaborer,
- Plus d’avantages à faire de belles présentations qu’à gérer un long texte de thèse.
Pour en savoir plus, je vous invite à vous rendre par exemple sur le site d’Overleaf ou de consulter cette vidéo YouTube :
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Les règles de mise en page d’une thèse
Une simple recherche Google vous démontrera que sur ce sujet, personne n’est réellement d’accord. Certains vous indiqueront que la police Arial est la seule à pouvoir être utilisée, d’autres qu’il faut utiliser Times New Roman ou Calibri. Ces contenus vous seront peu utiles.
Voici mon conseil : les règles à respecter sont celles qui vous sont données par votre établissement. Les universités, écoles ou centres de formation fournissent les règles de mise en page qui s’appliquent. Vous devrez toujours privilégier ces règles.
Pour vous faire une idée générale, voici ce qui est souvent demandé :
- Une police sérif ou sans sérif lisible du type Arial, Times New Roman, Garamond ou Calibri,
- Une taille de police de 12 pt,
- Un interlignage à 1,5,
- Une marge à 2,54 cm sur l’ensemble du document (prévu nativement dans la plupart des logiciels de traitement de texte),
- La numérotation de vos pages.
Encore une fois, je vous invite à contacter votre établissement pour être certain de ne réaliser aucun impair de mise en page !
Relecture et correction de thèse
Mettez toutes les chances de votre côté ! Après deux années intenses de recherches, de réflexion et de rédaction, il serait dommage, voire catastrophique de passer à côté d’une relecture minutieuse de votre thèse. Surtout quand c’est votre avenir professionnel qui est en jeu ! (Désolée pour le petit coup de pression 😬).
Pour rendre un texte parfait et ne pas risquer de jouer votre crédibilité auprès du jury, une phase de relecture et de correction est plus que nécessaire. Pour cette étape, deux choix s’offrent à vous : relire par vous-même ou passer par un correcteur professionnel.
Étant moi-même correctrice professionnelle, il m’est difficile de vous conseiller de le faire vous-même. Seul ou aidé d’un proche, il est parfois compliqué d’être certain de proposer un texte parfaitement relu. En passant par un correcteur professionnel, vous vous assurez non seulement d’éviter toute faute d’orthographe ou de grammaire, mais également selon la formule choisie, toute erreur de syntaxe, lourdeur, contresens, incohérence, etc.
Si vous n’avez pas d’autre choix que de le faire par vous-même, pas de panique. Voici quelques conseils pour vous assurer le meilleur résultat de correction possible.
1) Relire soi-même sa thèse
- Prévoir le temps nécessaire à la relecture
Déjà abordé plus haut, c’est une notion indispensable. Se laisser le temps de relire, plusieurs fois, à tête reposée vous permet de relire votre thèse avec plus de hauteur. Votre cerveau a tendance à autocorriger un texte qu’il a déjà lu plusieurs fois. - Se préparer
Vos faiblesses, vous les connaissez sûrement. Servez-vous de cette connaissance pour anticiper vos points d’attention spécifique. Si vous rencontrez des difficultés avec la ponctuation, prenez un temps spécifique pour ne regarder QUE cet aspect. Avez-vous positionné les virgules au bon endroit ? Avez-vous utilisé le bon nombre d’espaces ? Assurez-vous de traiter les éléments que vous savez problématiques en priorité. - Effectuer plusieurs relectures
Pour une correction efficace, il est important de réaliser plusieurs relectures espacées. Laissez à votre cerveau le temps « d’oublier » votre texte entre chaque relecture. N’hésitez pas à le faire relire par un proche ou par une personne de confiance. Un nouveau regard permet toujours de repérer ce que l’on ne voit plus. - Utiliser les bons outils et les bonnes sources
Certains outils vous permettront de dissiper vos doutes sur la conjugaison de certains verbes, sur l’orthographe ou le sens de certains mots. Voici quelques-uns des sites internet que j’utilise moi-même régulièrement dans mes corrections :
Vous souhaitez en savoir plus sur la relecture et la correction de votre thèse ? Je vous invite à lire mon article dédié intitulé « Comment relire sa thèse efficacement ? ».
2) Faire corriger sa thèse par un professionnel
a) Les avantages
Ce n’est pas moi qui vais vous dire le contraire, les avantages de travailler avec un correcteur ou une correctrice professionnelle sont nombreux.
- Vous gagnez un temps et une énergie précieux. En bout de course et après avoir passé tant de temps à sa rédaction, il est compliqué de trouver les ressources nécessaires à une relecture efficace et complète de sa thèse.
- Vous vous assurez une correction complète et professionnelle. L’assurance de rendre un texte irréprochable sur le fond comme sur la forme. Selon les correcteurs et les prestations proposées, vous pouvez demander à contrôler bien plus que les fautes d’orthographe et de ponctuation. Un correcteur professionnel peut aller jusqu’à vous assister dans la réécriture de certains passages afin d’éviter les redondances et les lourdeurs. Il s’assure de l’articulation des paragraphes, de la cohérence globale de votre thèse. Le correcteur peut contrôler la présence de barbarisme, régionalismes, etc.
b) Faire corriger sa thèse, combien ça coûte ?
La correction est en fait plutôt accessible selon la formule et le correcteur choisis. Les prix varient d’un correcteur à l’autre, mais vous devriez pouvoir vous en tirer pour une somme raisonnable.
Comme moi 😊, certains correcteurs attentionnés proposent une réduction spécifique réservée aux étudiants et doctorants pour la correction de thèses, mémoires et autres devoirs.
Mes tarifs démarrent à 3,50 € les 1500 signes, hors remise étudiants ! N’hésitez pas à consulter mon site pour tout savoir sur mes prestations. Oh, et le devis est gratuit ET sans engagement. Envoyez-moi un message, ça ne coûte rien d’échanger sur votre projet, je serai ravie de vous accompagner.
Mon astuce : comme pour tout métier de services, méfiez-vous des devis trop bas. Certaines personnes s’improvisent correcteurs sans formation sur la simple base d’être « bons en orthographe ». Vous paierez certes moins cher, mais prendrez le risque de rendre un texte relu approximativement. Pour ce type de résultat, autant relire soi-même !
Imprimer sa thèse en 2023
Une fois votre thèse rédigée et corrigée (vous l’avez corrigée ou fait corriger, rassurez-moi ? 😊) vous aurez certainement besoin d’imprimer votre thèse en plusieurs exemplaires.
Voici mes conseils pour vous assurer d’un rendu optimal, sans rien oublier !
1) Enregistrer votre thèse au format PDF
a) Pourquoi le format PDF ?
Lorsqu’il s’agit d’impression, le format PDF présente de nombreux avantages !
- Il « fige » votre mise en page et s’affiche de la même manière, quel que soit le type d’ordinateur, de tablette, de smartphone ou la version de logiciel utilisé. Vous vous assurez une impression conforme au rendu sur écran,
- Il n’est pas modifiable. Du moins, pas facilement. À moins d’utiliser un logiciel ou un site internet spécialisé dans la modification de PDF, il n’est pas possible de modifier par inadvertance.
b) Comment enregistrer son document Microsoft Word au format PDF ?
C’est très simple ! Il vous suffit de cliquer sur Fichier / Enregistrer sous puis de sélectionner le format PDF dans le menu, sous le nom de votre document :
c) Comment enregistrer son document Google Docs au format PDF ?
Cliquez sur Fichier / Télécharger puis sélectionnez l’option « Document PDF (.pdf) » dans le menu, sous le nom de votre document :
2) La technique. Quel format, type de papier ou reliure choisir ?
a) Le format
Imprimez votre thèse au format A4 portrait. C’est le format classique, déjà préchargé dans votre logiciel de traitement de texte.
b) Le type de papier
La qualité du papier choisi aide à véhiculer une image sérieuse. Une thèse imprimée sur un papier fin et transparent peut au contraire vous desservir. Choisissez-la en connaissance de cause. La plupart des imprimeurs vous proposeront une impression sur papier classique ou papier recyclé. Selon les qualités, le papier recyclé peut avoir une teinte grisâtre, le papier classique un blanc plus prononcé. Choisissez en fonction du rendu souhaité. Si le blanc du papier classique donne un rendu qualitatif, il paraît intéressant d’utiliser du papier recyclé si votre thèse touche de près ou de loin au domaine de l’écologie ou du climat par exemple.
La qualité de papier se mesure également en g/m². Le papier d’impression standard est un papier de 80 g/m². C’est celui que vous avez certainement chargé dans votre imprimante familiale. Il fera bien l’affaire, mais vous pouvez choisir d’augmenter encore la qualité de rendu en passant sur un papier plus épais à 90 ou 100 g/m². Il est intéressant d’augmenter le grammage en cas d’impression avec de grands aplats de couleurs.
c) La couverture
Le type de couverture dépendra de plusieurs critères, dont le type de reliure choisi. La couverture peut être imprimée dans un papier similaire au reste des pages, mais accompagnée d’une feuille plastique dans le cas d’une reliure en spirale, ou être imprimée sur papier cartonné dans le cas d’un dos carré collé.
N’hésitez pas à contacter votre imprimeur pour vous faire accompagner sur les possibilités et tarifs en fonction du rendu souhaité.
d) La reliure
Trois types de reliure sont principalement utilisés pour les thèses.
La reliure spirale en plastique : la plus accessible financièrement. Les tarifs pour ce type de reliure sont très corrects.
La reliure spirale en métal : un rendu plus qualitatif que sa version plastique pour un tarif plus élevé.
Le dos carré collé : la meilleure reliure, mais aussi la plus onéreuse. Cette reliure, similaire à celle d’un livre, permet même une impression sur la tranche. Un nombre de pages minimum est nécessaire pour ce type de reliure.
e) Couleur ou noir et blanc ?
Les deux ! Déterminez bien le nombre de pages couleur et le nombre de pages en noir et blanc. Vos pages de textes doivent rester en noir et blanc pour un contraste et une lisibilité optimale, mais vos photos, graphiques, schéma peuvent bien entendu être imprimés en couleur. Le coût de la couleur est souvent un peu plus élevé qu’une impression en noir et blanc.
Pour en savoir plus sur les aspects techniques d’une impression de thèse, je vous invite à contacter votre imprimeur local. Si vous choisissez un imprimeur en ligne, consultez le guide présent sur leur site internet et contactez-les au besoin.
Une recherche rapide sur Google vous donne un choix exhaustif dont voici deux exemples :
Conclusion
Rédiger une thèse est un exercice complexe qui nécessite une énergie et une concentration à long terme. Avec une bonne préparation, une phase de rédaction sérieuse et les bons réflexes de correction, vous vous assurerez un résultat irréprochable.
N’oubliez pas : Planification, Rédaction, Correction.
J’espère que ce guide vous aura servi. N’hésitez pas à me contacter si vous avez la moindre question ou suggestion et n’oubliez pas de télécharger ma fiche récapitulative au format PDF. Elle est gratuite !
À très bientôt peut-être pour l’un de vos projets de correction ?
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